Il a fallu retrouver le chemin du sud pour pouvoir contempler à nouveau l’obscure clarté des étoiles. Après une semaine passée dans la ville de Bodø, où le soleil ne s’est jamais couché, une petite escale à Oslo avant de repartir en Pologne s’était imposée.
Obscur n’est cependant pas synonyme de reposant. C’est ainsi qu’après des mois d’abstinence, mes pieds suppliaient de retrouver les dancefloors. Prétextant d’économiser une nuit onéreuse dans une auberge de jeunesse aussi perdue que piteuse, mes baskets pénétrèrent rapidement le célèbrissime London Pub and Club dès leur arrivée à la gare d’Oslo .
La musique assourdissante n’a cependant pas eu raison de mon ambition de comprendre qui sont ces Norvégiens. Une fois le dancing fermé à 3:30, une gentille invitation me convia à un « after » où il fut, comme par hasard, question d’identité norvégienne et de relations avec l’Union Européenne…
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